– Mal être, succession de conflits avec les autres, échecs à répétition, pertes d’emploi, séparations diverses, violences, passage à l’acte, sentiment de devoir changer sa vie.

– Insomnies, terreurs nocturnes, cauchemars ou stress, anxiété, crises d’angoisses,  manies, tristesse, dépression, phobies, troubles des conduites alimentaires, addictions et compulsions, colère, agressivité…

– Évènements qui affectent le corps, migraines, eczéma, zona, douleurs, pertes de mobilité, perte d’élan, envie de ne rien faire, trouble dans la libido ou inhibitions et désordres sexuels, difficultés à concevoir un enfant.

– Difficultés à affirmer ou vivre ses relations amoureuses, questionnement autour de son identité et/ou son identité sexuelle.

– Difficultés dans la relation avec son bébé, son/ses enfant(s). Conflit dans la parentalité.

– Souffrance faisant suite à des évènements traumatiques.

En inventant la psychanalyse, Freud révolutionne le rapport de l’homme à sa souffrance. En mettant au jour l’inconscient, il donne au symptôme une valeur de vérité qu’il revient pour le patient ou l’analysant (celui qui fait une analyse) de déchiffrer.

En insistant, en se répétant, le symptôme pousse le patient à dire en appliquant la règle de l’association libre, dénouant ainsi les conflits de tous ordres enkystés au fil des années ainsi que les événements survenus depuis l’enfance. La psychanalyse permet à chacun de se rencontrer, de se surprendre, de se découvrir dans des paroles inédites. Elle ouvre le champ des possibles au plus proche de sa singularité permettant d’être auteur de son existence.